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Faune et Flore Martinique

Massacre écologique volontaire en Martinique avec Cosette

Publié le 19/11/2014 à 14:42 par discovermartinique Tags : martinique antilles caraibes pollution

Massacre écologique en Martinique

 

Si lors de sa visite en Martinique, on avait demandé à l’organisation écologiste Greenpeace représentée ce jour-là par la coordinatrice de programme Greenpeace France Amel Ikil de livrer ses sentiments sur la situation écologique en région martiniquaise ? Elle aurait sans doute été un poil optimiste.
Ce jour-là, visionnaire ou pas, elle était également venue pour une campagne de sensibilisation et recruter le maximum d’adhérents pour Greenpeace.

 

C’est effectivement ce qui s’est produit hier mardi 10 novembre 2014 en Martinique suite à l’initiative quasi individuelle du préfet ici sur cette photo par ce communiqué dont nous citons les lignes :

 

‘’Ce mardi après-midi, à 16h16 le Cosette a donc été immergé à 14 milles nautiques des côtes et à une profondeur de près 3000 mètres, annonce la préfecture dans un communiqué. Décision prise ce mardi matin suite à l’aggravation de l’état du navire.

Le navire Cosette qui sombre

Le navire Cosette qui sombre

Après avoir consulté les experts sur place, et face au danger imminent que représentait le naufrage du Cosette dans l’enceinte du grand port de Martinique, le Préfet décidé de l’immersion ce cet encombrant bateau, amarré au port de Fort de France depuis 2010…’’

 

Mais s’était sans compter sur l’abnégation des martiniquais, surtout forts des enseignements reçus lors du passage de Greenpeace…
Les citoyens ont manifesté hier mardi devant les grilles de la préfecture contre l’immersion de ce navire au large des côtes la martiniquaises. Il s’est même constitué un comité, avec l’appui de Sainte-Lucie et la Domique, chargé de porter plainte contre l’État français. Ce comité était constitué de : les écologistes, les marins pêcheurs et d’une poignée d’élus locaux à la tête de laquelle le maire du Prêcheur Marcellin Nadeau.

 

Un conseil municipal extraordinaire a même été organisé lundi soir au Prêcheur pour mener à bien ce combat qui doit intéresser tous les riverains. C’est sans doute ce qui a poussé des femmes, des hommes et des enfants à manifester massivement devant la préfecture à Fort de France hier matin. Ceux-ci ont coordonné leur action grâce aux réseaux sociaux pour contester la décision d’immersion de Cosette au large de la côte Martiniquaise.

 

Colibris à la mangeoire

Publié le 31/10/2014 à 07:22 par discovermartinique Tags : martinique faune colibri
Colibris à la mangeoire

Le terme colibri est un peu utilisé à toutes les sauces. Dans le langage cummun, il défini ce que l’on appèle les « oiseaux mouches » alors que chez les ornythologues, il représente à la fois certaines espèses mais est aussi présent dans la désignation d’autres. Plus de 100 espèces de colibris sont recensées à ce jour. Les espèces qui y vivent sont un peu les oiseaux rois de la Martnique. Un peu comme les hibiscus pour les fleurs, ils sont les représentants officiels de la nature locale.
Le colibri est un oiseau facécieux. Il peut être indiférent ou d’une curiosité sans pareille, il est querelleur et toujours le premier à aller chercher des noises à ses congénéres ou autres oiseaux, surtout lorsque ces derniers passent à proximité d’une mangeoire qu’il estime être « la sienne » !  Parfois il pousse même le vice à s’en éloigner et se cacher dans un arbre feuillu pour surprendre le fautif et se lancer dans une course poursuite effrénée.  Si vous en avez l’occasion, postez vous à proximité d’une mangeoire et observez le cirque, c’est souvent très amusant.

En dehors de son caractère particulier, il possède cette faculté à faire du vol stationnaire. Et quand je dis stationnaire, c’est pas une vue de l’esprit. Il peut rester plusieurs secondes sans que sa position ne varie sur aucun des trois axes. Mais il est aussi capable de voler à une vitesse très élevée (supérieure à 80 km/h) et à effectuer des changements de direction très rapides. Il a été récemment sacré comme l’espèce la plus rapide de la planète en rapport taille/vitesse. Cela est dû à sa vitesse de battement d’ailes qui, d’ailleurs, le rend plutôt difficiles à photographier et à figer en vol.

Petite infos spécifique à ceux qui leur donnent à boire : éviter les sirops colorés qui peuvent être toxique et préférez un sirop de canne naturel.

Un colibri sur une branche

Publié le 31/10/2014 à 07:21 par discovermartinique Tags : colibri faune martinique
Un colibri sur une branche

Un colibri, sur sa branche, qui « pose » littéralement pour l’objectif. Mais ça n’a pas été aussi simple … et l’histoire qui suit en témoigne !

Tout d’abord, pour des infos plus détaillées sur ces oiseaux hors norme, vous pouvez vous rendre sur cet article.

Cette photo a été réalisée en 2007 au jardin de balata. Autant le dire de suite, je n’étais pas parti pour shooter un colibri ou un quelconque autre animal. Non, mon objectif était spécifiquement des photos en macro sur les fleurs splendides dont regorge ce lieu exceptionnel. Malheureusement, ce satané oiseau en avait décidé autrement et, au final, je n’ai ramené que très peu de photos de fleurs tropicales…

J’étais arrivé depuis une petite demi-heure et je faisais tranquillement mon petit tour de reconnaissance lorsque Maurice (oui, comme on est devenus intimes, je lui ai trouvé un nom !) a failli me percuter lors d’un passage en rase motte, manifestement pas particulièrement bien maitrisé. Je me demande encore, d’ailleurs, ce qui a bien pu l’amener à voler de cette manière, à cet endroit et à ce moment là. Mais il semble que l’esprit du colibri soit insondable. 

 D’entrée, j’ai compris  que cet oiseau de malheur allait me porter la poisse. Un chat noir version colibri, il ne manquait plus que ça ! Après ce premier contact, Maurice a décidé d’approfondir nos relations et s’est mis en tête de voir ce qu’il y avait à l’intérieur de mon Nikkor 17/55. Je savais le colibri curieux, mais je ne l’imaginais pas aussi téméraire pour simplemen assouvir cette curiosité. Donc, dès que je prenais mon boitier en main et que je voulais cadrer quelque chose qui m’intéressait, l’autre dingue venait se caller tranquillement, en vol stationnaire, devant ma lentille frontale. Autant dire que réaliser une photo digne de ce nom dans ces conditions relevait du miracle. Et il n’a pas eu lieu, du moins pas pour les fleurs.

Voyant son entêtement et mon incapacité chronique à me faire respecter, j’ai décidé de changer mon fusil d’épaule (c’est une image hein ! quoique, à ce moment là, si j’avais eu un fusil dans les mains …) et prendre l’impudent à son propre jeu : puisqu’il s’obstinait à vouloir être devant l’objectif, il allait devoir assumer et jouer correctement son rôle de modèle. Mais une autre des caractéristiques du colibri semble être son absence quasi totale de bonne volonté ! Je change donc d’outil pour monter un téléobjectif 70/200 sur mon boitier, histoire de le shooter même s’il s’éloigne un peu. Ca a dû le stresser parce qu’il a instantannément mis une certaine distance entre lui et ce gros cylindre menaçant. Et, comme il avait, décidemment, l’esprit retord, il prenait un malin plaisir à s’envoler dès que je m’apprêter à le cadrer. Le cirque a duré près d’une heure. Oui, une heure à me débattre avec un animal de quelques malheureux centimètres et avec un cerveau plus petit qu’un noyau de cerise qui avait décidé, ce matin là, en se réveillant, qu’il allait emmerder le premier photographe qu’il allait croiser ! Pas de bol, c’est tombé sur moi…

Et puis, le miracle a finit par se produire. Enfin, pas immédiatement. Comme il semblait prendre un certain plaisir à me narguer, il a ensuite accepté de rester statique mais totalement à contre jour. Dès que je me déplaçais pour trouver un angle plus favorable, il se déplaçait aussi pour se poser pile poil dans l’axe du soleil. C’en était trop pour moi, et dans un élan de colère mal dissimulé, j’ai décidé de tout ranger, de rentrer à la maison et de me saouler toute la soirée pour oublier cet épisode dont je n’étais pas fier. A peine mon fourre-tout ouvert et posé par terre, Maurice (peut-être dans un élan de sympathie bien incompréhensible, à moins qu’il n’ait fini par avoir pitié de moi) est venu se poser sur LA branche idéale : à 15m de moi, légèrement en hauteur, avec un fond éclairé par un soleil commençant a avoir une lumière un peu plus chaude. Bref, la situation idéale pour tout photographe voulant faire ce genre d’image. Et non content de rester là tranquilement pendant que je réglais mon boitier, il pris la pose en se tournant légèrement. Je n’ai pas tergiversé et j’ai déclanché.

Finalement, la peur de le rater m’a fait faire un choix technique (sacrifier la vitesse au profit de l’ISO) délicat qui a fait perdre à l’image une partie de son potentiel avec un très léger flou de bougé. Mais qu’importe, j’ai fini par vaincre l’animal. A moins que ce ne soit lui qui ait gagné, en fait …

Nénuphar et abeille

Publié le 31/10/2014 à 07:19 par discovermartinique Tags : martinique flore fleur nenuphar abeille
 Nénuphar et abeille

Cette photo a été prise en 2008 au Jardin de Balata, au dessus de Fort-de-France, endroit magique que je vous conseille, ô combien, d’aller visiter si vous en avez l’occasion.

Ce jardin botanique est vraiment un lieu magique, qui regroupe une quantité incroyable de variétés de fleurs, de plantes et d’arbres de la Martinique, mais aussi d’espèces rares de la planète entière.  Jean-Philippe Thoze orticulteur globe trotteur, a lancé l’aventure au début des années 80. Aujourd’hui, son « jardin » reçoit près de 200.000 visiteurs par an. Touché lors du passage de l’ouragan Dean en 2007, il a fallut de nombreux mois pour le remettre et état et le réouvrir au public.

Cette photo n’est pas spécialement représentative du Jardin. D’ailleurs, je m’attache à ne publier aucune image d’ensemble puisque le « décor » naturel paysagé est une oeuvre de l’esprit qui appartient pleinement à son créateur qui en possède tous les droits de diffusion. Vous trouverez donc, dans les articles sur ce sujet, essentiellement des photos en gros plan.

Fleurs de Martinique : l’Anthurium

Publié le 31/10/2014 à 07:17 par discovermartinique Tags : martinique flore fleur anthurium
 Fleurs de Martinique : l’Anthurium

L’anthurium est une fleur tropicale que l’on croise souvent en Martinique. Que ce soit en décoration en pot ou en terre, dans des jardins paysagés ou, simplement, au hazard d’une randonnée en pleine nature, vous ne pourrez pas la rater. Cette fleur fait partie des plus fréquentes dans les Antilles avec, notamment, l’Hibiscus, l’Alpinia, la Rose de Porcelaine ou encore, bien sûr, les Bougainvilliers ou les Balisiers. Ces fleurs tropicales, très présentes en Martinique feront surement l’objet de billets à venir !

On croise aussi souvent l’Anthurium chez les fleuristes en métropole qui en ont fait une de leurs préférées pour les compositions tropicales. Même si son coté un peu « phalique » peut laisser perplèxe ceux qui ont l’esprit mal placé ;-)   C’est, de plus, un excellent dépolluant pour l’amoniac notamment.

Si vous venez en vacances en Martinique, sachez que vous pourrez ramener un carton de fleurs en soute de l’avion. Passez au marché de Fort-de-France lors de vos vacances et commandez un carton d’une trentaine de fleurs. Il vous sera livré à l’aéroport, 2h avant votre décollage, parfaitement emballé. Les fleurs résisteront parfaitement au voyage et tiendront 2 semaines sans problème une fois arrivées !

On trouve en Martinique des anthuriums rouges ou roses essentiellement. Il en existe 7 espèces différentes.

La martinique malade des pesticides

Publié le 30/10/2014 à 11:11 par discovermartinique Tags : martinique pesticides banane

La martinique malade des pesticides pour la culture de la banane

 

Des pesticides dangereux pour la santé utilisés pour cultiver la banane.

Des pesticides dangereux pour la santé utilisés pour cultiver la banane.

La culture intensive de la banane dans les Antilles notamment en Martinique conduit à utiliser de plus en plus de pesticides dangereux pour santé humaine.

Un laboratoire indépendant accuse trois des cinq pesticides utilisés pour la culture de la banane être un perturbateur endocrinien et cancérigène.

L’Institut européen de recherche sur les cancers liés à l’environnement à signalé dans un rapport alarmant sur la « toxicité grave » de trois des cinq produits régulièrement répandus sur les bananes en Martinique.

Ce sont le propiconazole, le difénoconazole et le Gardian trois fongicides ont été relevés dans le rapport. Les deux premiers pesticides ont des effets négatifs sur le systèmes nerveux et sont cancérigènes. Quant au dernier, aurais un effet sur la fertilité masculine et sur les fœtus avec un risque de malformation.

Les autorités affirment que des études sont en cours pour connaître la dangerosité de ces produits. Les producteurs de bananes, qui représentent 30% de l’activité agricole aux Antilles, montent eux au créneau. Pour leur porte-parole,  Eric de Lucy, ces accusations « sont fausses et instrumentalisées ». « S’il y avait un risque pour la santé, on ne le ferait pas », assure-t-il.

Les tortues Luth en Martinique

Publié le 27/10/2014 à 18:11 par discovermartinique Tags : martinique luth tortue

 

Depuis le mois d’avril… on peut faire de surprenantes rencontres le soir
sur les plages de Martinique, et ce jusqu’en juin.
En effet, les tortues viennent pondre sur nos plages. Voir
carte
http://www.reseau-tortues-marines.org/IMG/jpg/Carte_des_pontes_reduc.jpg

Roman; font-size: medium;">Certains d’entres nous ont eu la chance de voir ce spectacle magnifique en croisant de belles tortues Luth. (la plus grosse tortue marine au monde.)
Atteignant les 1.60m de longueur, de 350 à 400 kilos en moyenne, dotée d’un cou massif,  elle possède quatre membres locomoteurs permettant des déplacements sous marins efficaces et puissants. Sa carapace, d’un bleu noir (tacheté de blanc ou uni),  est constituée de cartilages, le tout recouvert d’une peau rappelant le cuir.
Roman; font-size: medium;">Tortue imbriquée ou tortue Luth, leurs œufs sont déposés dans le sable. La femelle pond 5 à 10 fois par intervalles de 10 à17 jours au cours d’une saison. L’éclosion se fait après deux mois d’incubation dans le sable. Le sexe des petites tortues qui naîtront dépend de la température du sable pendant l’incubation. Température  sup à 29 ° = naissance de femelles - Température inf à 29 ° = males

Roman; font-size: medium;">Mais revenons un peu en arrière ! Vous avez décidé, torche à la main et appareil photo en bandoulière de partir à la rencontre de dame tortue ! Tout d’abord, il faut savoir qu’en Martinique, la tortue Luth pond la nuit, et exceptionnellement à la tombée du jour. Il vous faudra patience et détermination, mais peut être repartirez vous sans n’avoir croisé que de petits crabes !

 

 

Roman; font-size: medium;">Ce spectacle se mérite, et les quelques heures de marches
sur la plage vous laisseront un souvenir magique !

Roman; font-size: medium;">Il convient de respecter quelques règles afin que la tortue ne soir nullement dérangée pour pondre.
 
Roman; font-size: medium;">             Roman; font-size: medium;">Ne pas faire de bruit, parler à voix basse.
Employez la puissance minimale de votre lampe.
Pour les appareils photos, augmentez la sensibilité pour éviter de flasher.
               Evitez de vous approcher jusqu’au moment où la tortue a bien commencé à creuser son nid.
Ne pas les éclairez directement. Approchez vous par l’arrière. Vous pourriez sans le vouloir la désorienter.
Une fois la ponte commencée, la tortue est plus facilement observable. Vous pouvez éclairer, mais par l’arrière, toujours.
Ne la touchez pas, et bien sur ne montez pas dessus (et oui…. certains le font)
Une fois son trou refermé, la tortue repart vers l’eau, n’éclairez plus « entre vous et la terre »
Rebouchez et effacez les traces.

La faune et la flore en Martinique

Publié le 27/10/2014 à 18:02 par discovermartinique Tags : monde mer martinique nuit animaux fleurs oiseaux richesse

La faune :

 

La majorité des espèces présentes au moment de la colonisation a maintenant disparu des îles, y compris les lamentins et les serpents venimeux. Des oiseaux endémiques peuvent être découverts de temps en temps, parmi eux des colibris et d'autre trochilidae, aussi bien que des merles. Une autre catégorie d'insectes que vous allez nécessairement rencontrer par hasard sont les cancrelats éternels : inoffensif quoique plutôt dégoûtant. Ces punaises noires seraient les seuls survivants d'un holocauste nucléaire final et ont existé bien avant l'âge des dinosaures, 350 millions d'années en arrière, résistant aux cataclysmes, aux inondations et aux épidémies diverses. Vous êtes sûrs d'en découvrir à chaque fois vous allumerez les lumières dans votre chambre ou salle de bains. Vous allez aussi nécessairement jouir des concerts nocturnes donnés par des crickets et "cabrit-bois" (une sorte de sauterelle énorme, faisant des sons semblables à celui d'une chèvre), accompagné par le croassement de grenouilles.
Les
animaux
de la Martinique
Les colibris se balancent doucement sur des hibiscus où ils cohabitent avec des papillons vifs, ornant les fleurs de leurs ailes colorées. Les forêts du nord abritent les canards siffleurs de montagne et des ortolans peuvent être découverts de temps en temps sur les chemins, quoiqu'ils deviennent aussi rares que sur le continent. La dernière espèce survivante de serpent est le bothrops lanceolatus, ou le serpent de "lancehead", un serpent fortement venimeux préférant la solitude des champs de canne à sucre et la végétation inférieure de forêts, se cachant des mangoustes ennemies, des prédateurs et des perroquets. Les lézards et les crabes sont beaucoup plus communs sur les côtes. Dans l'ensemble, la faune de la Martinique est plus colorée que nuisible, plus intéressante que dangereuse, avec l'exception des moustiques qui sauront, comme en métropole, vous ennuyer pendant la nuit.

La flore : Des fleurs, des plantes, des arbres, la richesse du sol et la chaleur tropicale fournissent des conditions excellentes pour la végétation luxuriante comme par exemple : Bougainvillée, poincinia, alamanda jaune, heliconia, anthurium, bambou, cocotier, canne à sucre, ...
Les fleurs de la Martinique
Des fleurs, des plantes, des arbres, la richesse du sol et la chaleur tropicale fournissent des conditions excellentes pour une végétation luxuriante comme par exemple : Bougainvillée, poincinia, alamanda jaune, heliconia, anthurium, bambou, cocotier, canne à sucre, ... Après l'abandon du projet d'acclimater l'espèce tropicale en Europe, les botanistes ont tourné leur attention vers la Martinique, un site idéal pour élever les plantes précieuses, éxotiques, rassemblées dans le monde entier. La végétation de l'île est extrêmement diverse et les contrastes sont particulièrement visibles entre le niveau de la mer et les régions montagneuses. Les montagnes reçoivent plus de huit fois la quantité de pluie que les plaines comme Sainte Anne.